Photo de Georgia de Lotz sur Unsplash - Image de @upklyak sur freepik
Tout comme les recruteurs peuvent rejeter un.e candidat.e, il est tout à fait normal et acceptable de rejeter un employeur. Voici comment procéder…
- Ne nous fermons pas complètement -
Nous présenter à l’entretien pour un emploi ne signifie pas que nous l’accepterons. Nous n’induisons personne en erreur, tant que nous n’avons rien dit lors du processus d’embauche telles que : « Je vais définitivement accepter cet emploi si vous me l’offrez. ».
Les recruteurs qui réagissent mal au rejet, sont aussi ceux qui auraient mal réagit à nos demandes de congés, de paiement de nos primes ou de nos heures supplémentaires. Bref, c’est la preuve que nous avons esquivé les dysfonctionnements de ce recruteur, qui ne respecte ni les normes professionnelles, ni ses employés/ouvriers.
- Prévenir rapidement l’employeur -
Notre décision prise, ne tardons pas à contacter le recruteur pour l’en informer (Ceci afin d’éviter de transformer une déception en une frustration). Sans oublier, qu’ils ont probablement d'autres candidats en attente qui seraient ravis de recevoir l'offre une fois que nous l'aurons refusée.
- Justifier notre choix -
Cela peut sembler injuste puisque les recruteurs rejettent constamment des candidats sans donner de raison, mais montrons-nous plus grand et préserverons de bonnes relations pour l’avenir.
Il n’est pas nécessaire de remettre un compte-rendu détaillé. Optons pour quelque chose de simple, comme :
Il est possible que notre raison incite l’entreprise à essayer de trouver un moyen de répondre à nos objections ou qu’elle ne réagisse pas du tout.
Conclusions
Qu’il s’agisse d’une démarche pro-active ou d’une proposition qui nous a été faite, nous aurons à prendre la décision d’accepter ou de refuser les postes qui nous sont proposés. Or quel que soit le contexte, refuser une offre d’emploi n’est pas chose évidente, il nous faudra identifier les bonnes raisons de le faire.
Qu'en pensez-vous?